
-- Relancer une nouvelle politique de la ville --
En 13 ans, les ménages les plus jeunes et les plus modestes ont du partir de Saint-Egrève. La construction de logements locatifs sociaux était de près de 200 par mandat entre 1977 et 1995. Elle a chuté à près de 50 pour les 2 derniers mandats. Laissés entre les mains d’intérêts privés, les prix de l’immobilier sont devenus inabordables. Pourtant, une autre politique du logement est possible.
Mieux exploiter l’habitat actuel
Il faut commencer par mieux exploiter les habitations du parc existant. Nous mettrons en place une politique de mobilité, permettant d’adapter les logements à l’évolution des besoins des personnes comme des familles. Nous trouverons les moyens de prendre en considération des attentes plus spécifiques, comme ceux des personnes âgées qui veulent rester chez elles ou ceux des handicapés en attente d’accessibilité et de praticité. Nous les rendrons plus économes en énergie, afin de réduire les charges des occupants.
Trois types principaux d’opération seront envisagés : petite opération ponctuelle de quelques logements sociaux répondant à des opportunités, opérations plus importantes s’équilibrant entre logements sociaux et accession à la propriété, opérations d’acquisition pour amélioration.
Retrouver les moyens de répondre à nos obligations
Il manque 400 logements sociaux locatifs sur notre commune pour répondre à ses obligations. Les terrains disponibles ne permettent pas de rattraper ce retard pris en deux mandats. Pour respecter nos engagements, nous refuserons les cessions de logement du parc social locatif, nous rétablirons le droit de préemption sur l’ensemble de la commune et mandaterons les organismes compétents pour acquérir des logements dans le parc existant.
En 13 ans, les ménages les plus jeunes et les plus modestes ont du partir de Saint-Egrève. La construction de logements locatifs sociaux était de près de 200 par mandat entre 1977 et 1995. Elle a chuté à près de 50 pour les 2 derniers mandats. Laissés entre les mains d’intérêts privés, les prix de l’immobilier sont devenus inabordables. Pourtant, une autre politique du logement est possible.
Mieux exploiter l’habitat actuel
Il faut commencer par mieux exploiter les habitations du parc existant. Nous mettrons en place une politique de mobilité, permettant d’adapter les logements à l’évolution des besoins des personnes comme des familles. Nous trouverons les moyens de prendre en considération des attentes plus spécifiques, comme ceux des personnes âgées qui veulent rester chez elles ou ceux des handicapés en attente d’accessibilité et de praticité. Nous les rendrons plus économes en énergie, afin de réduire les charges des occupants.
Harmoniser le développement
Trois types principaux d’opération seront envisagés : petite opération ponctuelle de quelques logements sociaux répondant à des opportunités, opérations plus importantes s’équilibrant entre logements sociaux et accession à la propriété, opérations d’acquisition pour amélioration.
Retrouver les moyens de répondre à nos obligations
Il manque 400 logements sociaux locatifs sur notre commune pour répondre à ses obligations. Les terrains disponibles ne permettent pas de rattraper ce retard pris en deux mandats. Pour respecter nos engagements, nous refuserons les cessions de logement du parc social locatif, nous rétablirons le droit de préemption sur l’ensemble de la commune et mandaterons les organismes compétents pour acquérir des logements dans le parc existant.
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